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Y’a de la fébrilité dans l’air!

2 avril 2016 | Marie-Josée Turcotte, éditrice

Y’a de la fébrilité dans l’air!

Ça y est ! Dans quelques semaines aura lieu le grand jour ! Cela fait bien un an que j’en parle, que je cogite sur différentes idées avec mon équipe, que je multiplie les rencontres, les négociations, les associations. Bref : un an que je me prépare à cet événement historique, animée par un enthousiasme débordant, mais également assaillie par quelques idées angoissantes récurrentes, dont certaines me réveillent au beau milieu de la nuit, au son irritant de mon cerveau qui tourne comme un hamster dans sa petite roue au fond de sa cage. Vais-je avoir assez de temps devant moi ? Est-ce que j’oublie des détails importants ? Est-ce que les lecteurs et les lectrices vont aimer… ?



Votre opinion compte beaucoup, vous savez. Chaque fois que je prépare le contenu rédactionnel d’un magazine, je me demande toujours si les sujets abordés sauront vous interpeller. Eh bien, c’est encore plus vrai dans ce cas-ci. Pour quelle raison ? Tout simplement parce que le prochain magazine que vous recevrez sera une édition ultraspéciale 20e anniversaire !  Cette édition sortira complètement des sentiers battus. Je n’en dis pas plus pour le moment; ce serait gâcher la surprise qui, je l’espère, vous sera agréable… et non décevante. Tout ce que je peux vous dire, c’est que l’équipe du magazine PRESTIGE et ses nombreux complices travaillent très très fort depuis plusieurs mois afin de livrer un « produit » à la hauteur des attentes, un produit qui sera digne de notre image de marque et permettra de réaliser tout le chemin parcouru depuis 20 ans.



Sans vous vendre aucun « punch », je peux vous assurer que PRESTIGE a connu toute une évolution au fil de ces deux décennies ! Vingt ans, ce n’est pas si loin quand on y pense, et pourtant… Le monde de l’édition s’est transformé à la vitesse grand V grâce (ou à cause) de la technologie. Elle est bien loin, l’époque où je devais copier mes textes sur une disquette, envoyer celle-ci à mon correcteur par un service de coursier et attendre le retour du travail exécuté sur cette même disquette… Le graphisme et les méthodes d’impression se sont bien transformés aussi… Dieu merci ! En parcourant les premiers numéros du magazine, je me sentais un peu comme lorsque je feuillette des albums de photos et que je tombe sur de vieilles images de moi à la fin de mon secondaire… Ouf. C’est tout ce que j’ai à dire…



En attendant que vous puissiez admirer le fruit de notre travail, je vous invite, bien sûr, à dévorer l’édition avril 2016, laquelle clôt à merveille notre volume 20 !



Bon printemps !



 


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