Patrice Bergeron, hockeyeur vedette… et propriétaire d’un spa finlandais dans la région

Après s'être relevé d'une blessure qui aurait pu lui coûter sa carrière et sa santé, le hockeyeur étoile des Bruins de Boston, Patrice Bergeron, s'est offert, en 16 mois, non seulement une médaille d'or aux Jeux Olympiques et une Coupe Stanley… mais également une station spa scandinave de type "bains nordiques" à mi-chemin entre Québec et Charlevoix : Station Blü !

À l'occasion de sa tournée triomphale de quelques heures au Québec, le hockeyeur avait préparé, le 7 août en soirée, une surprise à ses proches amis, en réservant l'exclusivité des lieux pour une joyeuse célébration privée en présence de l’emblématique Coupe Stanley ! Après le « bain de foule » à Espace 400e, c'était place aux « bains nordiques » à la toute nouvelle Station Blü, pour les proches du champion !

À propos de Station Blü

Inauguré le 15 juin dernier (le jour même de la conquête, par Patrice Bergeron et les Bruins de Boston, de la convoitée Coupe Stanley!), Station Blü est le premier concept de bains nordiques favorisant la socialisation en milieu de détente. Sise entre le Mont-Sainte-Anne et le Massif de Charlevoix, la station de Saint-Tite-des-Caps a nécessité plus de 5 millions de dollars en investissements privés. On y retrouve, entre autres, un sauna chauffé au feu de bois d'érable, un bain vapeur avec fontaine de fraîcheur et un gigantesque bain tourbillon sur deux niveaux offrant un panorama digne des plus beaux contes de fées.

Le site bénéficie aussi de la présence d'une rivière sinueuse à l'eau claire et limpide d’un kilomètre, dont l'accès est facilité depuis les saunas (finlandais et bain vapeur). Couvrant une superficie de pas moins de 3 250 000 pieds carrés, soit l'équivalent de 190 patinoires de la Ligue nationale, Station Blü peut accueillir jusqu'à 140 invités à la fois! On y retrouve également une falaise de 40 pieds, le tout créant une mise en scène d’exception pour faire vivre une expérience unique aux sportifs, aux amants de la nature, aux épicuriens et aux groupes de tous genres.

Source : Jean Brouillard Communication et relations publiques