J'ai aimé…
• L'offre unique. La nouvelle S90, tout comme le XC90 ou encore, la V90 Cross Country, propose une expérience à part des autres en « challengeant » les principes d'une berline de grand luxe, de la mécanique à la forme même de celle-ci. C'est génial.
• Le confort des sièges, tant à l'avant qu'à l'arrière. Avec tous les ajustements possibles, ils frisent la perfection.
• Le confort et le silence de roulement.
• Les aptitudes sur la route. On ne peut pas se douter, en conduisant en « pépère », de toutes les aptitudes de cette grande voiture. Bien joué.
• L'espace disponible... partout !
• La qualité du système sonore. Une merveille !
• Le design de l'habitacle et du tableau de bord. Toujours aussi surprenant, même après plusieurs essais.
• L'intelligence du système de contrôle des interactions. Celui-ci se gère grâce à un gros écran central de 12,3 pouces (et qui fonctionne même quand on porte des gants !) : intuitif, génial, bien pensé, il est une référence dans l'industrie. Aussi simple qu'un téléphone intelligent.
• La consommation d'essence du moteur. Frôler les 9 litres aux 100 km, dans une si grande berline, à traction intégrale par-dessus le marché, c'est fantastique.
• Le couple à bas régime. Non, la S90 n'est pas une bombe, mais comme la XC90, sa puissance de 316 chevaux livrée par le moteur à quatre cylindres de 2 litres turbo et compressé est amplement suffisante. En fait, elle est si bien gérée qu'elle surprend. À preuve, ce 0-100 km/h sous la barre des 6 secondes.
• Le design de la portion avant inspiré par le marteau de Thor. La grille et les lumières avant sont superbes.
• Le prix. Le prix de base de 56 900 $ avec la traction intégrale est simplement dans le coup (pour ne pas dire « coût »).
• La version familiale. Les versions V et V Cross Country proposent un design arrière nettement plus réussi.
J'ai moins aimé…
• L'assistance artificielle de la direction. Peu importe le mode choisi (par exemple : sport ou confort), il y a dans ce volant une assistance qui nous déconnecte de la route de la mauvaise façon.
• La qualité de certains matériaux. À titre d’exemple, les boutons pour monter ou abaisser les fenêtres semblent en plastique bon marché. C'est un détail, vous me direz, mais dans une berline de ce prix, il n'y a pas de place pour un tel compromis.
• Le design de la portion arrière. C'est une question de goût, mais je le trouve raté.
• Les options coûteuses.