Voilà un an était inauguré un milieu de vie pour aînés atteints de troubles de la mémoire absolument unique en son genre à Québec et au Québec : Humanitæ. Ce premier anniversaire a eu lieu en plein cœur du mois de la sensibilisation à la maladie d’Alzheimer.
Dédié aux aînés atteints de troubles de la mémoire, Humanitæ accueille actuellement plus de 85 résidents qui bénéficient d’un environnement hors du commun pour continuer leur vie, malgré la maladie. Il est le premier environnement de cette envergure et de cette complexité réalisé au Québec.
Comptant 12 maisonnées de 12 à 15 chambres et plus d’une trentaine de salles thématiques, ce milieu de vie permet aux résidents de continuer à vivre avec dignité, tout en demeurant actifs. On y retrouve sur place différents services, comme un magasin général, un piano-bar et une cour extérieure avec animaux de la ferme. Le concept est inspiré par les meilleures pratiques mondiales qui ont déjà fait leurs preuves.
Ce que M. François Audet, président-fondateur de Groupe Patrimoine, a dit :
« Cette vision de créer Humanitæ est née de ce que nous vivions dans nos résidences pour aînés autonomes. Quand survient la maladie, nous ne sommes pas outillés pour prendre soin des aînés atteints d’Alzheimer, les stimuler et les garder actifs. Il était naturel pour nous de créer un milieu unique, un environnement où l’activité, l’occupationnel et l’humain sont au cœur de nos actions, bien avant la maladie. Et nous le voyons maintenant, après un an : chaque jour, nous sommes témoins de résidents qui sourient, participent aux activités, sont actifs et continuent de vivre leurs passions. C’est émouvant… »
Ce que Mme Stéphanie Boulet, directrice générale d’Humanitæ, a ajouté :
« Après une année de fonctionnement, les résultats sont probants ! Nous sommes très fiers de la qualité des soins et de la qualité de vie offertes à nos résidents. Nos résidents profitent agréablement de la vie. Qui plus est, les familles des résidents, très présentes avec nous, sont heureuses de voir évoluer leur proche dans cet environnement unique et sont réconfortées de les sentir en sécurité. Les maladies cognitives, dont l’Alzheimer, ne constituent pas une fin en soi et nous le vivons au quotidien ! »