« Nous étions en quête d’une porte-parole depuis le tout début de la fondation en mai 2011, recherchant une personnalité pour qui les enfants ont toujours été au centre de son univers », exprime Guy Boutin, président de la Fondation. « Vous comprendrez facilement pourquoi je suis heureux et fier que madame Claire Pimparé ait accepté de s’associer à la cause et aux œuvres de la Fondation Le Petit Blanchon… Si l’amour pour les enfants incarnait un nom, ce serait certainement celui de cette femme d’exception. »
Il était tout naturel pour Mme Pimparé d’accepter le rôle de porte-parole. Femme intègre, généreuse et entière, elle a été associée à plusieurs causes à caractère humanitaire au cours des 25 dernières années, en plus d’avoir participé dernièrement à une mission pour un orphelinat en Haïti. À travers tous ses engagements professionnels et sociaux, elle a toujours défendu avec conviction et compassion la plus noble des causes à ses yeux : celle des enfants. La situation précaire et souvent critique des « petits blanchons », ces jeunes enfants ayant subi de graves sévices psychologiques et physiques et victimes d’abandons répétitifs, l’a interpellée au plus haut point.
« Je suis heureuse de pouvoir m’engager personnellement pour cette cause qui me tient à cœur », a commenté Claire Pimparé. « Pendant dix ans, j’ai eu la chance d’avoir une ferme et de pouvoir offrir des camps de vacances à des enfants provenant de milieux défavorisés ou vivant des expériences éprouvantes. Ces enfants ont été pour moi de grands maîtres qui m’ont beaucoup appris. Je leur voue le plus tendre respect, j’ai envie de leur tendre la main et de faire une différence dans leur vie. »
Elle-même mère de trois enfants adultes, dont Myriam, une intervenante sociale pour le Centre jeunesse de Montréal, et grand-mère de quatre petits-enfants, Claire Pimparé est une femme de cœur, sans demi-mesure, qui n’a pas fini de nous toucher.
À PROPOS DE LA FONDATION LE PETIT BLANCHON
La Fondation Le Petit Blanchon vient en aide à toute personne ou organisation qui propose un projet dont les priorités sont d’aider et d’améliorer la qualité de vie d’enfants vivant des situations critiques qui affectent leur épanouissement personnel et risque de compromettre leur avenir. C’est, entre autre, en initiant un partenariat avec le Centre jeunesse de Québec – Institut universitaire et la Fondation du Centre jeunesse de Québec, que La Fondation Le Petit Blanchon a participé activement à la création de la Maison Le Petit Blanchon, un nouveau chez-soi sécuritaire, qui a aujourd’hui un impact significatif sur des jeunes enfants victimes d’abus et d’abandons.
QUELQUES FAITS SAILLANTS
Une situation alarmante au Québec…
- Au cours de la dernière année, les DPJ ont traité 77 244 signalements, ce qui représente en moyenne 211 situations d’enfants signalées quotidiennement au Québec. Cette année, le nombre de signalements a augmenté de 0,9 %.
- Au niveau régional, pour l’année 2011-2012, 6 798 signalements ont été traités par le Centre jeunesse de Québec – Institut universitaire, avec 2 415 signalements retenus. Du côté du Centre jeunesse Chaudière-Appalaches, en 2011-2012, sur les 3 488 signalements traités, 1 559 signalements ont été retenus.
- Pour l’ensemble du Québec, la négligence et le risque sérieux de négligence sont les principaux motifs de signalements retenus.
Pour consulter le bilan des DPJ/DP 2012 – Un enfant… des parents au cœur de l’intervention : www.acjq.qc.ca
