« La transition avec Alain a été un fit parfait quand il est arrivé en 2009, se souvient Sébastien Ouellet. Il est simple et facile d’approche, et ça n’a pas changé lorsqu’il est devenu président. Tu sais que tu peux compter sur lui, non seulement au travail, mais aussi sur le plan personnel, ce que j’apprécie beaucoup, et c’est d’ailleurs ce qui fait la force d’une équipe. Il prend le temps d’écouter et d’analyser les forces de chaque personne, ce qui lui permet d’en tirer le meilleur, en plus d’agir aussi comme conseiller. Il a une belle vision de l’ensemble de l’entreprise autant que des humains qui en font partie. » Sébastien Ouellet dit avoir appris qu’on doit foncer, croire en soi et apprendre constamment à se dépasser. « Alain a cette belle qualité de mobiliser ses associés et ses employés pour réaliser des projets. Il personnifie exactement notre slogan Rigueur et Passion : il rassemble et motive, donne le maximum de lui-même et n’en attend pas moins de nous tous, afin que nos clients obtiennent le meilleur de Revenco. »
Michael Chicoine a déniché chez Revenco son tout premier emploi comme électricien. Il a débuté sur les chantiers avant d’intégrer les bureaux. « J’ai toujours voulu être actionnaire, même au début de la vingtaine, raconte Michael. Et l’importance de l’entreprise me stimulait encore plus. Travailler avec Alain Lemieux, c’est motivant, car on évolue dans un environnement riche en nouveaux défis, ce qui nous permet d’apprendre et de développer nos compétences. J’ai aussi appris la détermination et la persévérance. On fonce ! Et malgré les difficultés, on trouve toujours des solutions. Aller jusqu’au bout, ne jamais lâcher. J’ai acquis avec le temps une mentalité de croissance continue. » Quel type de leader est Alain Lemieux ? « Il est synonyme de performance et d’innovation dans toutes les facettes de l’entreprise, et sa capacité à percevoir les forces de chacun et à les mettre en valeur contribue à créer des équipes efficaces et diversifiées, et d'unir tout le monde autour d'un objectif commun. Alain est visionnaire, il sait où se dirige la compagnie, il pense toujours plusieurs coups d'avance. »
Quand il était sapeur de combat dans les Forces armées canadiennes, Samuel Bard a été l’instructeur et l’ami du futur gendre d’Alain Lemieux, Félix Bertrand. Quand ce dernier est devenu acheteur chez Revenco, il l’a invité à se joindre à l’équipe comme adjoint aux chargés de projets. « Alain, qui était alors vice-président construction, m’a pris sous son aile pour faire de la gérance de projet avec lui au Centre Vidéotron, explique Samuel. J’ai tout appris ici, et plus je prenais de l’expérience, plus Alain me laissait de l’espace, agissant à mon endroit comme un véritable mentor. J’ai connu très peu de gens qui sont aussi perspicaces pour comprendre les autres, pour lire leurs émotions, ce qui le rend redoutable en affaires, mais aussi très humain dans sa façon de travailler avec l’équipe. Ça m’a énormément aidé à grandir. Alain a de l’instinct, il a confiance en lui et nous amène à prendre des décisions ainsi qu’à les assumer. Il prend aussi bien soin des contremaîtres, qu’il considère comme des piliers essentiels dans la livraison des projets. »
Dans les dernières années, le rôle de Samuel a évolué jusqu’au titre de directeur des opérations en 2019 et associé en 2020. « Je l’assiste au quotidien et j’ai participé à l’élaboration de plusieurs stratégies visant à optimiser l’entreprise et à gérer sa croissance. Alain nous a emmenés complètement ailleurs avec le temps, à preuve notre volume d’affaires qui a triplé en quelques années ! Ce que j’aurai le plus appris de lui finalement, c’est sa façon de s’occuper de ses clients. Il en choisit quelques-uns, mais leur accorde toute son attention, d’où la relation de grande proximité qu’il entretient avec eux. Sa décision de choisir des créneaux exclusifs et d’un niveau élevé de complexité, comme le filon des centres de données, a propulsé la compagnie vers de nouveaux sommets. Il a toujours pensé d’abord à Revenco, de sorte que lorsqu’il quittera un jour, c’est qu’il sera certain que sa relève sera solide pour assurer la continuité. »
S’il est présent dans l’entreprise depuis 10 ans, Jocelyn possède 25 années d’expérience dans le domaine de l’électricité, puisqu’il provient de l’intégration de la compagnie Alex Ouellet en 2013. « C’est challengeant, car on est toujours amenés à se dépasser avec de grands défis qui sont grisants pour nous, mais toujours réalisables en raison de la qualité de l’équipe et de nos leaders, explique Jocelyn. Me joindre à Revenco m’a permis de participer à des projets auxquels je n’aurais probablement jamais eu accès. Alain est un formidable développeur, et nous apprenons tous énormément à le côtoyer. » Jocelyn dit aussi avoir appris du président à nuancer son approche dans ses relations professionnelles et personnelles pour se mettre davantage dans les souliers de l’autre. « Notre slogan Rigueur et Passion vient d’en haut et on s’y attache tous. C’est ce qu’Alain a instauré et nous, les associés, y avons adhéré. Nous vivons vraiment au cœur de nos projets avec nos employés, et nous nous faisons un devoir d’en assurer le succès. La croissance rapide de Revenco est vraiment impressionnante, ce qui est encore plus méritoire, parce qu’il faut gérer ce développement sans perdre le contrôle. J’ai pour Alain un profond respect et une grande admiration. »
Pour Jean-Philippe St-Pierre, son parcours chez Revenco a été jusqu’à maintenant une aventure stimulante et enrichissante, et travailler aux côtés d’Alain Lemieux, un véritable privilège. « Il incarne l’excellence en tant que leader et mentor, dit-il. Sa passion pour son travail et son engagement pour l’amélioration continue sont contagieux. Bref, cette expérience a été une véritable école de leadership. J’y ai acquis des compétences essentielles en gestion de projet, en résolution de problèmes et en prises de décision stratégiques. Si je devais choisir un seul qualificatif pour décrire Alain, je dirais visionnaire, car sa capacité à voir au-delà des défis immédiats et à orienter l’entreprise vers des objectifs à long terme est extraordinaire. » Petite anecdote parmi d’autres, Jean-Philippe raconte qu’en 2022, il a dû remplacer au pied levé son patron à un cocktail à Montréal. « Une fois dans la salle bondée, j’apprends qu’il y a un invité mystère, et à notre table, car une chaise demeure inoccupée. Quelle n’est pas ma surprise de voir entrer Lucien Bouchard ! Sur le chemin du retour, j’ai appelé Alain pour lui dire qu’il avait manqué un dîner de deux heures en compagnie de l’ex-premier ministre… »