Indispensables rouages de performance
Karoll Gosselin est le plus ancien collaborateur d’Alain Lemieux encore chez Revenco. « À l’époque où je l’ai connu, il y a au moins une trentaine d’années, nous étions à l’emploi d’un autre entrepreneur, se souvient-il. C’est notre ardeur commune au travail qui nous a rapprochés. En 2012, le destin a voulu que la compagnie Alex Ouellet qui m’employait fusionne avec Revenco pour que nous nous retrouvions. C’est tellement wow cette compagnie-là, Alain a des bras droits incroyables ! Nous sommes bien traités, gâtés même, si on a besoin d’une pièce d’équipement, on demande, et on l’obtient ! Juste le party des fêtes, je n’ose imaginer combien ça coûte… Tout est dans la façon de traiter les gens. Alain est très humain, mais il est aussi capable de mettre son poing sur la table en affaires, car il est un leader naturel. Il le faut pour diriger une entreprise comme Revenco. Et se donner corps et âme comme il le fait. »
Depuis 15 ans chez Revenco, Serge Paquet connaît Alain depuis deux fois plus longtemps. Il a aussi été son employé chez un autre entrepreneur en électricité comme apprenti, après quoi, après un intermède de cinq ans à son compte, il le suivra pendant 10 ans dans une autre entreprise du même domaine, puis chez Revenco. « Quand il est devenu président, il est resté le même, raconte-t-il, mais les projets n’ont pas cessé de grossir en raison de ses qualités de visionnaire, sa facilité à entrer en contact avec les gens et à bien s’entourer, ainsi que sa nature de vrai bâtisseur. Il a compris qu’il faut du personnel en dessous de lui pour le soulever. Et il nous propulse à son tour. » Une anecdote ? « Du temps où nous étions chez un concurrent, nous nous téléphonions tellement qu’Alain se trompait souvent de prénom en appelant son fils Charles-Étienne… Serge ! »
Sébastien Bouchard est entré chez Revenco peu de temps après Alain Lemieux, au début de 2010, après l’avoir côtoyé chez un autre entrepreneur. « Quand Alain est arrivé, j’y travaillais déjà. C’est lui qui m’a invité à le rejoindre chez Revenco. Depuis sa nomination comme président, il a apporté beaucoup de changement, car c’est un homme qui aime évoluer et grandir, la compagnie a beaucoup progressé sous sa gouverne, car il carbure aux défis. Généreux et charitable, il est très à notre écoute quand on a des suggestions, il n’hésite pas à nous aider, même en dehors du travail. Alain est un père de famille, un patron, un ami. C’est difficile d’être plus dévoué que lui à l’égard de l’entreprise, car il vit vraiment pour Revenco. »
David Bédard a lui aussi eu Alain Lemieux comme patron en 2007 chez une entreprise concurrente. « Depuis qu’il occupe la présidence, il a repoussé littéralement les limites de la compagnie. Celle-ci avait déjà une certaine stature, mais depuis l’amphithéâtre jusqu’aux centres de données, ce sont tous des projets immenses, explique-t-il, admiratif. À chaque fin de contrat, je me dis qu’on ne verra jamais plus gros ou plus technique, mais oui ! Pour obtenir des projets de cette ampleur, ça prend de l’ambition et un côté visionnaire. Alain n’a pas froid aux yeux et son regard est constamment tourné vers l’avenir. Un vrai leader ! Parlant de voir loin, quand j’ai commencé comme apprenti, à la fin de ma première rencontre avec Alain, il m’avait prédit : "Un jour tu seras contremaître." Il avait vu juste ! »
Sylvain Houle travaille chez Revenco depuis 2006. « Quand Alain est devenu président, la transition s’est déroulée dans le calme, l’ordre et le respect, à l’image du patron. » Lui aussi a été estomaqué par la croissance fulgurante de l’entreprise. « On s’est tous développés au même rythme que la compagnie, autant sur le plan de nos compétences qu’en tant qu’individus. » Comment perçoit-il Alain ? « Un homme honnête et vrai, qui ne passe pas par quatre chemins pour communiquer tout en étant ouvert à la discussion, même pour des choses personnelles. Leader charismatique, prêchant par l’exemple, il est près des gens, il te met à l’aise, de sorte que tu sens que tu es en relation avec lui. Voilà pourquoi on a confiance en lui, on a envie de donner tout ce qu’on a pour lui. »
Une dernière anecdote en dit long sur cette proximité. « Alain m’avait suggéré d’amener les gars manger après leur journée sur un chantier à Saint-Hyacinthe, disant que ça resserre les liens, que ça les encourage à continuer, se souvient M. Houle. Je lui ai fait à mon tour la suggestion de nous rejoindre en descendant à Québec au retour d’un contrat à Montréal. Il s’est arrêté pour souper et passer quelques heures avec nous. Morale de l’histoire ? Alain Lemieux ne vit pas juste pour Revenco, mais aussi sur le même terrain que ceux et celles qui en font partie. »